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 Norah Winston Foster [100%]

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Norah Winston Foster
Serpentard | 6ème Année

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Norah Winston Foster


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MessageSujet: Norah Winston Foster [100%]   Norah Winston Foster [100%] EmptyVen 20 Fév - 7:04

Toute plainte pour ma présence devra être formulé à Maxime pour m'avoir tout bonnement refilé l'adresse du forum XD Au lieu de dire n'importe quoi, je devrais penser à ce que je fais de ce personnage. Un être malfaisant...ou pas.

Informations de base

Nom : Winston Foster
Prénom :Norah
Âge :16 ans
Date de naissance : 7 novembre
Nationalité :Anglaise
Pureté du Sang :Mêlé

Année d’étude :Sixième année
Maison :Serpentard

Poste au sein de l’école :Aucun
Baguette magique : Longue de 24.7 centimètres et faite en bois de saule, donc parfaite pour les sortilèges, elle contient un ventricule de dragon.

Apparence : Je sais, je ressemble beaucoup à ma mère. Si vous regardez des photos d’il y a plus de trente ans, il y a des chances que vous croyez que c’est moi qui y apparait tellement la ressemblance est frappante. Les gens la disaient très belle et il va de soit que la même remarque se passe à moi aussi. Personnellement, je trouve plutôt à je ressemble à Blanche-Nunuche (vous devez comprendre Blanche-Neige) des temps modernes.

J’ai un teint relativement très pâle, presque laiteux en fait. Mes lèvres pulpeuses rappellent la couleur du sang. J’ai les yeux en amandes, sans avoir de racines asiatiques. Je ne sais pas si c’est leur forme qui donne cette impression, mais je les trouve tout de même assez petits. Mes iris sont bleus, d’un bleu très pâle tirant sur le gris. Mes sourcils sont très fins et ajoute sur mon visage en forme de tringle un air un peu triste et distant. En fait, un air presque mélancolique. Mon nez est peut-être un peu large, mais plus petit, il n’aurait pas eut sa place dans mon visage. J’ai des pommettes très discrètes, peu apparentes pour être franche. De plus, avant que je ne l’oublie, j’ai un petit grain de beauté à quelques centimètres de ma lèvre gauche. Il parait que ça m’ajoute un certain charme. Tout ceci est encadré d’une courte chevelure d’un noir de jais, accentuant la pâleur de mon teint. Je l’ai dit, je ressemble à la conne qui a vécu avec des petits cons de nains.

Sinon, que dire sur mon corps ? « Qu’est ce que j’aimerais voir ce qi se cache sous ses vêtements. Non, mais tu as vu ses courbes? Par la barde de merlin, qu’est que j’aimerais la bai... » Non, ne dis rien de plus, tu vas te manger mon point sur la gueule, mais ce n’est pas vraiment le temps de parler de cela. Quoi qu’il en soit, vous avez compris. J’ai sensiblement un beau corps. Je ne suis pas très grande, juste un mètre soixante-cinq, mais le reste de mon corps à été fait en fonction de ma grandeur, sauf au niveau de la poitrine où c’est un peu plus gros que ce que la proportionnalité aurait mise.

Pour ce qui est du niveau vestimentaire, que dire. Et bien il n’est pas difficile de voir que j’affectionne tout particulièrement le noir. En fait, je ne porte que du noir, sauf, exception faite, de des jeans. Pour ce qui est des vêtements en tant que telle, ça varie selon mon humeur alors il ne faut pas vraiment être surpris de me voir arriver d’une robe une journée et le lendemain d’un kangourou. Il en va de même pour les chaussures.


Caractère : Je crois fermement que la première chose à savoir sur moi est le fait que je suis extrêmement rancunière. Tu me blesses et hop ! Ton hibou est mort. Il faudra que je t’aime salement pour que je te pardonne. Il en va de même pour ma confiance. Elle est très difficile à gagner et ne t’avises pas de faire n’importe quoi avec. Sinon, que puis-je aussi dire sur moi ? J’ai un mauvais caractère, ça ce n’est pas difficile à avouer. Tout le monde qui me connait un tantinet le sait. Il est aussi de notoriété publique que j’adore insulter les gens, que je suis extrêmement grossière et que quand je décide de taper une personne, je n’y vais pas avec le dos de la baguette. Je ne fais pratiquement jamais d’effort, juste le minimum. Pourquoi ? J’en sais rien et il faut que je l’avoue. Je m’en tape comme ce n’est pas possible de le savoir. J’ai un sens de l’humour assez spécial qui ne plait pas à tout le monde. Pour moi, voir une personne se prendre la pire dérouiller de sa vie est aussi drôle que les blagues de pète pour les gars immatures. Pour être franche, ce que je suis la plupart du temps sauf en ce qui concerne mon père, je suis plus intelligente que ce que je laisse paraître. J’ai seulement l’air d’une fille agressive et un peu mélancolique, mais j’ai un cerveau derrière cette apparence. Je ne fais que ne pas le montrer aux autres. Ça évite que les gens vous jugent à votre juste valeur et ça fait en sorte qu’il est possible de les prendre par surprise. J’ai un mauvais caractère, c’est vrai, mais je ne suis pas de si mauvaise compagnie. J’aime bien les gens, sauf quand ils sont soulants. J’aime parfois parler, d’autres fois non. Tout dépend de mon humeur.

Je prends peut-être facilement les nerfs et encore plus sous certains sujets. Peut-être par mauvais contrôle sur moi-même. Je ne suis pas une mauviette, mais je ne suis pas non plus un modèle de courage. Je suis fidèle à moi-même aux gens que j’aime, amis pour les autres personnes… Je vais me servir de vous si j’en ai de besoin. Je n’ai pas vraiment de morale, sans toutefois tomber dans l’exagération. Je suis quelques fois profondément dans mes pensées, dans de grands questionnements existentielles qui reviennent toujours au même : Pourquoi ? Je ne suis pas mature sans toutefois tomber dans le caractère enfantin. Je suis entre les deux, en équilibre. Malgré tout, j’ai une bonne ouverture d’esprit. J’aime découvrir de nouvelles choses. Je ne suis pas très patiente et je déteste tout particulièrement que l’on se foute de me gueule. Je n’aime pas me laisser faire et ça n’arrive pratiquement jamais. Je cache un secret depuis mon arrivé ici et je n’ai nul l’intention de le révéler.

Ah, au fait, avant que ‘oublie, les nombreux vols qui ont lieu dans cette école sont peut-être de ma faute. En fait, si vous avez besoin de quelques choses et que vous être prêt à mettre le prix, je connais une personne qui peut presque vous obtenir n’importe quoi. C’est la Rose noire. Et oui, j’ai hérité des talents de mon père. Pour me contacter, il suffit de laisser un message dans les toilettes désaffectées.

Comment les autres le/la perçoivent : Vous savez, c’est une question plutôt intéressante, mais très difficile à répondre. En fait, elle devrait plutôt être posée à ces « autres » plutôt qu’à moi, mais je vais tout de même tâcher d’y répondre le mieux possible. Wow, mais ferais-je un effort ? Quoi qu’il en soit, je crois que la plupart des gens ne m’apprécie pas tellement et pas seulement à cause du simple fait que je suis à Serpentard. J’ai un mauvais caractère, je fais chier à peu près tout le monde, et la liste continue. Alors, on e voit sans doute comme une petite teigne qui ne sait pas apprécier ce qu’elle a, en plus d’aborder un air toujours triste. En fait, peut-être que le gens croient que je suis dépressive ? Bah, qu’ils aillent se faire f*utre. J’en ai rien n’à cirer de ce qu’il pensent de moi.


Portrait Chinois

Si c’était une matière :Il ne fait aucun doute que ça serait les sortilèges.
Si c’était un sortilège :
Si c’était une marque de shampoing : Celle qui pique les plus les yeux.
Si c’était une saison : L'automne, parce que c'est chiant.
Si c’était une chanson : Delta Goodrem - Lost Without You
Si c’était un truc dégoûtant :Un obèse en string, soutient-gorge et avec des talons haut qui vous ouvre la porte en se croyant vraiment sexy et qui essaie de vous draguer.


Dernière édition par Norah Winston Foster le Mer 25 Fév - 4:13, édité 6 fois
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Norah Winston Foster
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MessageSujet: Re: Norah Winston Foster [100%]   Norah Winston Foster [100%] EmptyMer 25 Fév - 3:22

Histoire

I'm lost without you, so please don't leave me.


Vous savez, l’histoire d’une personne peut se raconter de plusieurs manières. Ça semble un peu étrange dit comme cela, mais pensez-y un peu. Tout dépend du point de vu de la personne. Un narrateur qui n’est pas personnellement impliqué dans la vie de la personne, une personne qui connait très bien la personne et la personne qui raconte sa propre histoire. Chacune de ces versions est différente des autres. Les faits sont toujours et encore les mêmes, mais il y a toujours des petits détails qui changent, des explications que l’on n’aurait pas avec une autre version, etc. Dans mon cas, je n’ai pas vraiment le choix de raconter ma propre histoire, mais c’est fou à quel point j’aimerais avoir SA version des faits. Commençons pour en finir le plus vite possible.

Je suis née un 7 novembre. Il parait qu’il faisait un orage pas possible cette journée là. Le vent soufflait de toutes ses forces, la pluie martelait férocement les fenêtres, les éclairs zébraient minute après minute le ciel couvert de nuages et le tonnerre ne cessait se faire entendre sa voix. Le genre de journée qu’à peu près tout le monde déteste sauf moi. Pour être franche, mes parents ne s’aimaient pas vraiment. D’accord, ils se détestaient pour ainsi dire. Alors pourquoi avoir fait un enfant ensemble ? Mariage arrangé ? Et puis quoi encore. Non, en fait, c’était l’histoire d’un soir, d’un seul soir, mais les choses ne s’étaient pas passé comme prévue et ma mère était tombée enceinte. Trois mois et quelques poussières plus tard, elle retrouvait mon père et lui annonçait la «bonne» nouvelle. Pendant un certain temps, ils ont essayé d’être ensemble, mais plus les jours passaient et plus ils se détestaient. C’était deux personnes trop différentes. Deux personnes qui auraient simplement dû se rencontrer un soir, mais que le destin décida de faire autrement.

Je ne sais pas pourquoi il l’a fait. Je sais simplement qu’il l’a fait. Il me donna aussi le nom de famille de ma mère. Peut-être pour que je sache un jour. Quoi qu’il en soit, puisque ma mère n’avait rien voulu savoir d’un «sale petit monstre qui venait de lui gâcher sa vie et son physique», il se retrouva seule avec moi. Il décida de m’appeler Norah. Norah Winston Foster.

Pour ainsi dire, mon père n’était pas un type très bien. Oui, il a été assez bien pour prendre ses responsabilités en main, mais je crois que ça n’avait rien n’à voir avec de simples responsabilités. Je crois que c’était un désir profond d’avoir un enfant, malgré qui il était. Voyez-vous, il n’était pas mécanicien, commis d’épicerie, boulanger, avocat ou peu importe le travail à quoi vous pensez, il ne l’était pas. Mon père était un voleur assez doué qui savait saisir ses chances et laisser filer les coups impossibles. Enfin, jusqu’à celui-ci, mais c’est une autre partie de mon histoire. Sean Foster...

Je mentirais si je disais que j’ai eu une enfance normal, mais je mentirais aussi si je disais aussi que j’ai eu une enfance horrible. Mon père était un excellant père, adorable, attentionné, merveilleux et qui m’aimait du plus profond de son cœur. Oui, il avait des fréquentations louches, vivait dans un appartement douteux dans un quartier des plus douteux, mais je ne pouvais douter de ses intentions. Il m’éleva comme il le pouvait. Il va s’en dire qu’il avait eu une éducation de plus merdique, alors il ne pouvait pas vraiment se fier sur l’éducation qu’il avait eu. Le résultat est tout de même assez concluent car on peut aisément se dire que ça aurait pu être pire. Quoi qu’il faut se dire que je n’étais pas exactement comme cela quand j’étais plus jeune, mais ce qu’il fit me fit changer sur certain point. Attention, je n’étais pas une tendre non plus, mais j’avais quand même un peu plus de respect et une pointe de gentillesse.

À l’école, je dois avouer que j’étais relativement turbulente. Des remarques grossières, j’en ai quand même assez dit, mais j’avais quand même un peu de retenu envers certains, et il est important de souligner certains, professeurs. Je n’avais pas dans les meilleures notes, mais c’était simplement parce que je ne me donnais pas la peine. Je me battais quand même assez souvent à l’heure du déjeuné ou pendant les pauses, quand ce n’étais pas dans les cours de sport. Il va s’en dire que ça n’a pas vraiment changé aujourd’hui, sauf que je suis devenue un peu plus grossière.

Ce qui me faisait tout particulièrement sortir de mes gonds c’était les sales petits cons qui s’amusaient à insulter mon père. Parce qu’il va s’en dire que peu de gens, un pourcentage vraiment infime, savait comment il gagnait sa vie. Pour les autres, il n’était qu’un gros raté à la belle gueule qui passait ses journées dans un bar de danseuses et qui avait une fille turbulente. Si seulement ils auraient su. Étrangement, ça ne dérangeait pas mon père. En fait, ça l’amusait affreusement toutes ces rumeurs sur lui, à un point tel qu’il en rependait parfois lui-même, en plus de les alimenter.

C’était fou à quel point j’aimais mon papa.

Pourquoi a-t-il fallut que tu ailles contre tes principes ? Pourquoi a-t-il fallut que tu acceptes de faire ce putain de coup ? Tu n’as jamais voulu me répondre. Tu n’as jamais voulu me dire pourquoi tu avais accepté de prendre toute ces années pour les protéger. Tu n’as jamais voulu me dire quoi que ce soit en fait sur ce coup. Pourquoi m’as-tu fais cela ?

Il savait que c’était un coup très risqué, mais il avait tout de même accepté de le faire. À cette époque, j’avais 11 ans. J’avais beau lui avoir dit que c’était trop risqué, il ne m’avait pas écouté. Il était parti ce samedi après un baiser sur ma joue et avoir murmuré «T’en fait pas, je vais rentrer demain matin». Sauf qu’il n’était jamais rentré à la maison. Le coup avait mal, vraiment très mal viré. Je vais épargner les détails, mais il s’était pris 10 ans de prison ferme. Tout simplement parce qu’il n’avait pas voulu dénoncer ses complices, complices qui étaient les vrais coupables. Pourquoi idiot, pourquoi ne pas les avoir dénoncé ? Espèce de sale crétin. Tu m’as abandonnée pour les protéger.

À cause de lui, j’ai été placé dans une famille d’accueille dont je vais épargner la description. À chaque dimanche, je rendais visite à mon papa pendant une heure. Il était assis à l’autre bout de cette table en bois dont les graffitis traduisaient la vieillesse et la dureté de cet endroit. Étrangement, il était toujours le même, mais j’avais tout de même l’impression de voir un inconnu à l’autre bout de la table. C’était un peu comme si quelque chose s’était brisé en moi quand je ne l’avais pas vu revenir à la maison, quand j’avais vu ces deux policiers qui sentaient le café venir me chercher. En fait, oui, quelque chose s’était brisée. Sans lui, je me sentais perdue et c'est encore le cas.

Durant l’été, j’avais reçu une lettre très étrange un dimanche matin, peu avant de faire comme le dimanche d’avant, et celui d’avant, celui d’avant et ainsi de suite. Le petit bout de papier dans la poche arrière droite de mon pantalon, j’étais allée voir mon père, même si ça me brisait le cœur à chaque nouvelle rencontre. Sans même lui laisser le temps de me dire bonjour, je lui avais fourré la lettre sous son nez avec un air peu commode sur mon visage. Cet air, je le tenais de lui.

Il avait simplement émit un petit «Ah!» avant de me la remettre. Ça m’avait vraiment foutu en rogne que la seule chose qu’il trouvait à dire c’était simplement cela. Ce n’était même pas un vrai mot bon sang ! Après un certain temps, il avait finalement daigné me donner quelques explications. Il avait à peine eu six mois pour connaitre ma mère et elle ne lui avait pas dit grand-chose, alors il ne pouvait me dire que seulement ce qu’elle lui avait dit et qu’il se souvenait. Evelyn Winston était une sorcière de sang-pur. Elle avait étudiée dans une école de magie nommé Poudlard, la même qui m’avait envoyé cette lettre. S’il se souvenait bien, elle avait été envoyé dans la maison des «méchants» Serpentard (sauf qu’il n’avait pas dit cela comme cela) et ça ne l’avait pas étonné vu son sale caractère pas possible.

Comme réaction, je l’avais simplement fixé jusqu’à ce que je doive le quitter, ne réalisant pas du tout ce qui se passait. Je ne pouvais, en plus, en parler car qui m’aurait cru et qui aurait pu me comprendre ? Personne, tout simplement personne. Le sujet est resté mort entre moi et papa jusqu’à la dernière minute, quand j’avais dû aller acheter mes fournitures scolaire, jusqu’au moment où je réalisai que j’allais encore le perdre. À cause de cette école, je n’allais plus pouvoir le voir à chaque dimanche. Juste durant les vacances. Moi qui me sentais si seule… Comme ma mère, j’avais été répartie à Serpentard. Une Winston de plus dans cette maison, sauf que je n’étais pas comme tous ceux qui avait passé avant moi. J’avais aussi un caractère assez chiant, sauf que je n’avais pas du tout l’intention de me démaquer ni même de vraiment m’impliquer. Cette école, elle m’avait aussi volé mon père.

Je sais que ça peut sembler un peu étrange une telle obsession pour mon père, mais c’était juste lui que j’avais toujours connu. On s’entendait si bien et je l’ai «perdue» à un jeune âge sans comprendre pourquoi. Sans lui, j’ai l’impression que tous mes repères n'existent plus. Je me sens si seule sans lui.

Il va s'en dire que mes premières années dans cette école ne furent pas de tout repos, principalement à cause de mon caractère sanglant. De plus, il va s’en dire que toutes les remarques du genre «C’est fou à quel point tu ressembles à ta mère» me faisait vraiment enrager. En fait, ça m’énerve toujours. Les gens la trouvaient très belle, intelligente, sensuelle, mais ils ne la connaissaient sans doute pas assez. Les gens ont souvent l’idée stupide de croire que j’ai été élevé par ma mère, amis elle s’est simplement tirée pour se marier à un sorcier de sang-pur et avoir des petits anges. Ils croient bien souvent que je suis de sang-pur, mais je suis de sang mêlé, élevé par un père maintenant en prison. Sauf que cela, pratiquement personne ne le sait. Il y a juste les gens qui ont vécu dans le monde moldus, qui se souviennent des informations sur un dénommé Sean Foster et qui arrive à faire un lien entre Norah Winston Foster et Sean Foster.

C’est fou à quel point un petit détail peut changer à tout jamais une vie. Non, en fait, il peut changer plus d’une vie, mais combien de gens le réalise ? Ils sont très peu à le savoir. Il y a juste ceux pour qui le détail à eu l’effet d’un coup de pelle en plein visage. Je me sens si perdue sans toi, alors ne me quitte pas, sauf que tu l’as déjà fait d’une certaine manière. Je te déteste tellement, autant que je t’aime. Pourquoi m’avoir fait cela ?
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MessageSujet: Re: Norah Winston Foster [100%]   Norah Winston Foster [100%] EmptyMer 25 Fév - 12:02

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