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 Camille J. Matthew.

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Camille J. Matthew
Serpentard | 7ème Année

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Camille J. Matthew


Messages : 19
Date d'inscription : 26/02/2009

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Poste au sein de l'école: Batteur chez les Serp'. Et accessoirement Enfoiré.
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MessageSujet: Camille J. Matthew.   Camille J. Matthew. EmptyVen 27 Fév - 0:11

Informations de base


Nom : Matthew
Prénom : Camille Janneken
Âge : 17 ans
Date de naissance : 26 Novembre
Nationalité : Anglaise / Française
Pureté du Sang : Sang-pur

Année d’étude : Septième année
Maison : Serpentard

Poste au sein de l’école : Batteur dans l’équipe de Quidditch de Serpentard, si possible. [Faut que je vérifie s’il y a une démarche à faire pour avoir un poste dans l’équipe de Quidditch ! ^^’]
Baguette magique : Bois de Saule, 29,7 cm, contenant deux crins de licorne.

Apparence : On dit souvent de moi que je suis pas mal. Ni ‘moche’, ni ‘canon’, ni ‘normal’, juste ‘pas mal’. Moi personnellement, je ne vois pas vraiment ce qu’il y a d’extraordinaire en moi. Comme la majorité des garçons, je suis plutôt grand, pas excessivement, je rentre simplement dans la norme. Niveau corpulence, je suis assez mince, surtout par rapport à ma taille. Mon grand-père est le premier à critiquer mon corps. Combien de fois ne l’ai-je pas entendu m’affirmer que j’étais trop maigre, que je ne parviendrais jamais à devenir un véritable Matthew ?! Avec le temps je m’y suis fait. Surtout que je suis peut-être maigre mais j’ai tout de même une légère musculature, dû notamment à la pratique du Quidditch. Je ne vais pas non plus disserter pendant des heures sur mon corps, alors passons plus tôt à ma tête. Après tout, c’est la première chose qu’on remarque chez une personne, nan ? J’ai un visage ovale, des traits assez fins. La première chose qu’on remarque lorsqu’on me regarde, c’est probablement mes yeux. D’une forme ovale, ils possèdent une couleur particulière : gris. Je les tiens de mon père. En fait, je lui ressemble assez au niveau du visage. Je crois que c’est pour ça que mon grand-père me regarde toujours avec mépris. J’ai ses yeux, son nez, et même sa bouche. C’est pour casser cette ressemblance aussi flagrante que je me suis fais un piercing à la lèvre. Il n’y a que les cheveux que nous n’ayons pas en commun. Mon père à des cheveux assez ondulés. Les miens sont raides et sont impossibles à coiffer correctement. Moi qui déteste passer du temps devant un miroir, je me contente juste de passer une main dans les cheveux et on a toujours l’impression que je viens de me lever.
Je ne suis vraiment pas du genre à prendre soin de mon physique. Et ça se voit dans ma manière de m’habiller. C’est très simple : je prends le premier pantalon –généralement un jean- et le premier tee-shirt –et un pull selon le temps- qui me tombent sous la main. Si le tout s’accorde, c’est parfait, au moins je suis sûr de ne pas avoir de remarques pendant la journée. Sinon y’a l’uniforme de l’école. Je ne le porte pas souvent en dehors des cours. Il ne me laisse pas assez libre de mes mouvements.

Caractère : De quoi faut-il que je parle, maintenant ? Ah. De mon caractère. On en vient enfin aux choses sérieuses. Par où commencer ? Je… Tiens ! Par ce matin. L’un de mes camarades de chambrée dont je ne vous citerais pas le nom puisque je l’ai oublié, me faisait justement remarquer qu’elle ne comprenait pas qu’on puisse être aussi cynique. Je précise au passage que je l’ai –gentiment- rembarré. On ne va pas non plus s’étendre sur le sujet et laissez-moi plutôt m’expliquer. L’être humain a toujours eu tendance à catégoriser. Sous prétexte que je ne me montre pas toujours poli – A quoi ça sert de « faire bonne figure » devant des personnes qu’on déteste ? J’aime pas l’hypocrisie– que je critique de temps en temps les règles (et les gens), on m’a immédiatement catalogué comme une personne cynique. TssTss…

Bon, j’en étais où ? Ah ! Parlons de mon arrogance. C’est mon trait de caractère qui agace le plus ma très chère tante. Soi-disant que je me montre parfois un peu trop prétentieux et méprisant vis-à-vis de mes semblables. Quoi ? Est-ce ma faute si je ne dis que des vérités ? Je suis intelligent. C’est un fait. Est-ce une raison de se montrer arrogant, me direz-vous ? Et bien, oui, s’en est une. Au moins je ne mens pas. Je ne fais qu’exposer une vérité. J’ai toujours trouvé stupide les personnes qui préféraient cacher leurs qualités pour ne pas paraître trop prétentieux, trop arrogant, justement. Comme si c’était un défaut ! Avons-nous demandé de naître avec toutes ces qualités ? Non. Elles nous sont imposées. Alors autant les exposer librement aux autres. Pour une fois que je partage une partie de moi…

Je crois que vous l’aurez comprit, depuis le temps, mais je déteste le mensonge. C’est probablement lugubre –c’est pourtant la vérité- mais je pars du principe que tout le monde ment. Je refuse de me comporter comme les autres. Alors je n’hésite pas à dire ce que je pense, et comme je le pense. Je ne suis pas assez hypocrite pour parvenir à dire mes vérités avec un certain tact ou avec de la retenue. Dans un sens, on pourrait considérer cela comme une qualité, non ? N’est-ce pas un geste généreux d’avouer nos pensées ? Dans un autre, en partant du principe que les pluparts de mes pensées sont assez antipathiques pour les gens qui m’entourent, on comprend la réputation que je traîne derrière moi : il est méchant Camille.

Pffff… Si ça, c’est de la méchanceté ! Alors que je ne suis pas du genre à me battre, ni a chercher les autres, d’ailleurs. Vous ne me verrez jamais aller agresser un élève. Hum… Bon, d’accord sauf s’il m’a déjà un peu cherché avant. Là, je ne dis pas que je ne riposterais pas. Mais je serais plus fin, plus rusé, je riposterais là où ça fera mal, quitte à user de ses faiblesses. Et je suis doué pour ça. Généralement je parviens rapidement à cerner la personnalité de ceux qui m’entoure, leurs qualités comme leurs défauts, leurs forces comme leurs faiblesses. Et j’en use toujours avec tact.

J’ai toujours aimé la fuite. Dans toutes les circonstances. Lors d’une bagarre –je n’ai jamais trop aimé me battre- devant mes problèmes –j’essaye quand même de les résoudre… (le plus tard possible, évidemment)En utilisant, les autres, oui - ou lors d’une question un peu trop gênante pour moi. J’essaye toujours d’éviter les réponses nettes sur tout ce qui me concerne. Je déteste parler de moi. Il faut un peu nuancer. Je ne suis pas le dernier à me vanter… Mais vous ne m’entendrez jamais parler de choses qui me touchent vraiment. Je ne suis pas vraiment du genre à me confier à la première personne qui pointe le bout de son nez. Mouais… Enfin, ça dépend de la personne en question.

Je me targue d’être indépendant. Je ne cesse d’affirmer que je serais le seul homme sur terre, je ne m’en porterais pas mieux. Malheureusement je sais parfaitement que ce n’est pas le cas. Profitez-en, ce n’est pas une chose que je répéterais quotidiennement, mais oui, j’ai besoin des autres. Il ne faut pas croire non plus que je perds tout le contrôle ! En vérité, si je m’intéresse à eux, c’est uniquement lorsque j’y vois un profit. C’est un comportement des plus égoïstes, mais l’être humain n’est-il pas ainsi ? Ne le niez pas. Ce sont nos besoins égoïstes qui nous poussent à aller vers les autres. Pour cacher ce que j’estime être une faiblesse, je me montre souvent froid et distant lorsque je leur parle. Manquerait plus qu’ils croient qu’ils ont un quelconque intérêt, autre que celui d’assouvir mes besoins immédiats, à mes yeux !

Est-ce que je suis vraiment ainsi ? A votre avis ? Ne sommes nous pas là, dans ce monde, pour jouer un rôle ?

Comment les autres le/la perçoivent : Arf. Comme un connard associable. Quoi d’autre ?

Portrait Chinois


Si c’était une matière : Potions
Si c’était un sortilège : Stupéfix
Si c’était une marque de shampoing : Euh...
Si c’était une saison : Hiver
Si c’était une chanson : You can’t always get what you want – Rolling Stones
Si c’était un truc dégoûtant :
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Camille J. Matthew
Serpentard | 7ème Année

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Camille J. Matthew


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MessageSujet: Re: Camille J. Matthew.   Camille J. Matthew. EmptyVen 27 Fév - 0:11

Histoire


Raconter quelques mots sur ma vie ? Tout a commencé quelques mois avant ma naissance. Ce soir là, Johnathan Janneken Matthew, mon grand-père, avait organisé une grande réception en l’honneur de notre illustre ancêtre : le créateur du Veritaserum. Les plus grandes familles sorcières, de toutes les nationalités, étaient invitées. Mes parents faisaient tous deux partis de la soirée. Ma mère, en tant que fille cadette de l’hôte, et mon père en tant qu’héritier d’une des plus grosses fortunes de France. Je vous passe les détails, le plus important à retenir est que ce soir là, ma mère cherchait l’homme de sa vie, mon père cherchait la femme de sa nuit. Dans un sens leurs souhaits ont été réalisés : mon père est reparti le lendemain de ma conception, dans son pays d’origine : la France et ma mère est décédée peu de temps après ma naissance d’une mauvaise chute, en ayant connu qu’un seul homme : mon père.

Mon géniteur ne connaissant même pas mon existence, j’ai été élevé par mes grands-parents-maternels. Je ne peux pas dire que j’ai été malheureux. Ils ont toujours fait en sorte que mes besoins primaires soient comblés. Je n’avais ni de frères ni de sœurs mais j’ai grandit avec Alexander, mon cousin, de cinq ans plus âgé que moi. Lui, c’était le stéréotype de l’enfant modèle. Sa mère été l’aînée de la mienne et elle s’est comportée comme une fille parfaite en épousant un sorcier anglais de bonne famille, bref, tout ce qu’il faut pour rendre mon grand-père heureux. Je crois qu’inconsciemment je suis rentré en compétition avec Alexander dès mon plus jeune âge. Et notre très cher grand-père ne faisait rien pour m’en empêcher. Au contraire, il ne ratait aucune occasion pour me faire sentir que s’il m’élevait c’était uniquement parce que j’étais le fils de sa fille, et rien d’autre.

Les premières années de mon existence se sont écoulées ainsi : je cherchais simplement à être le meilleur aux yeux de mon grand-père –je n’y suis jamais parvenu. En fait mon avenir était déjà tout tracé. J’allais probablement devenir un sorcier, étudier à Poudlard, faire de grandes études afin de devenir enfin intéressant aux yeux de ma famille. Pour accomplir ça, j’avais même mis de côté mes propres questions, mes propres interrogations. J’aurais voulu tout apprendre sur mon père. Je sus seulement d’après les dires de mon grand-père que « c’était-un-lâche-qui-n’aurait-jamais-dû-mettre-les-pieds-sur-lui-et-cette-infamie-n’aurait-jamais-eu-lieu. » J’ai tellement été douché par sa réaction que je n’ai plus osé poser de questions sur lui. J’avais compris inconsciemment que c’était le sujet tabou. Tout changea à l’âge de mes 10 ans, quelques jours avant mon anniversaire.

Je me souviens très bien de ce jour-là. Je n’aurais jamais dû me retrouver au manoir, normalement. Alexander avait annoncé à mes grands-parents qu’il m’emmenait avec lui jouer au Quidditch avec quelques amis. Comme d’ordinaire, ils avaient été charmés par son attention. Moi aussi d’ailleurs, je pensais bêtement qu’il m’emmenait vraiment jouer à ce sport dont j’étais déjà un grand fan. J’ai vite été déçu. Alexander m’utilisait seulement comme excuse pour aller draguer une de nos voisines. Bref. Je devais passer tout l’après-midi loin du manoir pour que nos grands-parents ne se doutent de rien. Alexander avait les moyens de me faire obéir. J’ai accepté. J’ai rapidement changé mes plans, lorsque la pluie a commencé à tomber en cascade sur moi. Je n’avais aucune envie de me mouiller à ce point là, pour sauver la réputation de mon cousin auprès de mes grands-parents. Je suis donc rentré rapidement au manoir, en prenant garde tout de même, qu’on ne remarque pas ma présence.

Je me suis tellement montré invisible que j’ai pu perçu les bribes d’une dispute entre mon grand-père et ma tante. Elle l’accusait d’avoir été la cause de la mort de ma mère. Que s’il l’avait laissé rejoindre mon père en France, elle n’aurait probablement pas eu cette chute et qu’ils auraient au moins dû mettre mon père au courant de sa paternité. Pour toute explication, mon grand-père lui expliqua seulement ce qu’il m’avait exposé auparavant : mon père était un lâche et qu’il en avait une preuve écrite.
Le jour même, je m’introduisais dans le bureau de mon grand-père et récupérait cette preuve. Une lettre où mon père reconnaissait sa paternité et affirmait vouloir me rencontrer… Etc. Charmant. A dix ans, j’avais enfin récolté quelques informations sur mon père. Mais ce n’était pas exactement ce à quoi je m’attendais. Mon grand-père me mentait. Mon père était un type bien.

Je crois que je considérais mon départ pour Poudlard, comme une libération et une nouvelle prison. Je ne voyais plus le regard accusateur et méprisant de mon grand-père poser sur moi, mais j’avais la lourde tâche de me montrer à la hauteur de ce qu’il pourrait attendre de moi. Je le détestais depuis que j’avais compris qu’il me mentait sur mon père. Et je souhaitais pourtant tout faire pour qu’il me considère avec de l’estime. J’étais parfait dans le rôle : un jeune crétin prétentieux. J’étais rentré dans l’image stéréotypée du parfait petit Serpentard. Méprisant, arrogant, fier et sûr de lui, et surtout, affichant une haine excessive vis-à-vis des moldus et des ‘Sang-de-Bourbe’.
Mes trois premières années se sont déroulées dans le même état d’esprit : je voulais que mon grand-père soit fier de moi et j’agissais comme il l’aurait souhaité. Je me moquais des autres maisons avec mes ‘amis’ Serpentard et ne cessait de critiquer les moldus et leur progéniture sorcière ou non. A côté de ça, j’étais considéré comme l’un des meilleurs élèves pendant mes cours. J’excellais dans toutes les matières. En particulier en cours de sortilèges et de potion. N’était-ce pas les potions qui avaient apporté la notoriété à ma famille ? Parallèlement j’avais encore en tête l’envie d’en apprendre plus sur mon père. Je voulais le rencontrer.

C’est à 14 ans que je l’ai fais. Que j’ai franchis le pas. J’ai prétexté une visite chez un ami de Poudlard pour passer deux semaines durant mes vacances d’été, à Paris. J’ai rencontré mon père. Il était désormais marié -avec une sorcière, une bourgeoise, il faut garder le Sang-Pur- mais il a accepté avec joie de m’héberger et de faire plus ample connaissance avec moi. Je lui ai demandé comment il avait rencontré ma mère, pourquoi il n’avait jamais donné de nouvelles, ce que j’étais en droit de savoir, quoi ! Il a dû bien s’amuser à me raconter toutes ces bêtises. Je le considérais comme un héros, un type bien. C’était un bon père de famille et un bon époux.

J’ai toujours été là où je ne devais pas. La veille de mon retour vers l’Angleterre, j’ai eu la judicieuse idée de rentrer plus tôt à l’appartement de mon père. Je l’ai surprit avec une femme et au vu du ventre que celle-ci possédait, il n’y avait pas besoin d’être intelligent pour comprendre que leur relation n’avait rien de platonique.

Tout a changé à partir de là. Les différences entre moldus et sorciers ou même d’un point de vue moins générale, les différences entre les maisons à Poudlard, me paraissaient désormais bien stupides. Je préférais faire une différence entre moi et les autres.
Je crois que c’est à partir de cette année que je suis devenu plus froid, plus indifférent, même vis-à-vis des élèves de ma maison. J’ai l’impression que c’est à partir de cette année où je me suis rendu compte que les défauts des hommes me sautaient plus aux yeux que leurs qualités. En vérité, c’est en quatrième année que je me suis réveillé et que j’ai commencé à me détacher de toutes ces normes, de toutes ces règles. C’est à partir de là où j’ai commencé à comprendre que, quoi que je fasse, mon grand-père n’aurait jamais assez beaucoup d’estime pour moi. Et quoi que je fasse je n’en aurais pas pour mes semblables. Alors je suis devenu peu à peu, au fil des années, l’élève que je suis actuellement. Toujours aussi bon dans certaines matières et toujours aussi nul dans d’autres, semblant toujours désintéressé en cours et parvenant pourtant toujours à s’en sortir avec des résultats corrects voire plus que corrects.

Mon père n’a jamais su que je l’avais vu ce jour-là. Je pense qu’il s’en est douté. Je ne me suis jamais montré très chaleureux, par la suite lors de mes visites. Car oui, j’ai continué à aller le voir. Entre mon grand-père et mon père, où passer mes vacances ? Paris m’offre la liberté que je n’ai pas lorsque je reste au manoir. J’utilise la relation que j’ai avec mon père pour échapper au joug de mon grand-père. Judicieux, n’est-ce pas ?
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MessageSujet: Re: Camille J. Matthew.   Camille J. Matthew. EmptyVen 27 Fév - 0:31

Ohoh, une vieille connaissance =D
( Lauren se bouscule au portillon de mon esprit, mais je la retiens, cours pendant qu'il en est encore temps ._. )

Bienvenue chez nous ! n_n
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